24 juillet 2005
Une merveille de la nature
Une merveille de la nature
Un soir par la fenêtre,
Je vis une lueur qui y pénètre,
Je levais ma tête,
Sortie de ma couette.
Un ciel tout gris,
Dans le brouillard,
Sans un bruit,
J’y lançais un regard.
Dans le ciel des étoiles,
Accroché à se voile,
Le ciel si étoilé,
Qu’ont pouvait en rêver.
Dans mes yeux si émerveillé,
Que j’arrête plus de regarder,
C’était si merveilleux,
Que ça me rendait très heureux.
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